« Les résultats de l’Enquête québécoise sur les limitations d’activités, les maladies chroniques et le vieillissement (EQLAV, 2010-2011) montrent que 7,3 % des personnes de 15 à 64 ans présentent une incapacité qualifiée de modérée ou grave, mais que ce taux grimpe à 26,1 % chez les 65 ans et plus, pour atteindre 59,1 % chez les 85 ans et plus. »**
Que ce soit son conjoint, sa mère, un grand-parent, un frère, une sœur, le deuil est toujours une épreuve. Il n’y a pas de hiérarchie dans la douleur. Mais perdre son époux, sa femme, la personne avec qui l’on partageait ses jours et ses nuits, s’avère un violent traumatisme. « Que les mots “pour le meilleur ou pour le pire” aient, ou non, été prononcés un jour, écrit le Dr Christophe Fauré, psychiatre, dans son essai Vivre le deuil au jour le jour (Albin Michel), on avait accueilli avec joie le meilleur et on avait tenté de s’accommoder du pire, mais on avait vite oublié ce “jusqu’à ce que la mort nous sépare”…» « Quant au futur, aux rêves que nous avions élaborés et caressés à deux, aux voyages que nous aurions un jour le temps de faire, aux petits-enfants que nous verrions grandir ensemble, il faut aussi en faire le deuil. »*
Sources:
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